L’outil SIG



« La vraie question n’est pas la masse d’informations récoltées mais l’intelligence qu’elle nous permet d’obtenir. »




Réfléchir à l’opportunité d’internaliser ce type d’outil

Aubépine propose des ateliers- formations intitulés « SIG ou pas SIG ? ».

Sur une demi-journée, il s’agit donc de présenter au décisionnaire et aux personnels les potentialités de l’outil géomatique. Mais aussi ses exigences, ses coûts de mise en œuvre, selon les options choisies. Conduit sous forme d’atelier pratique en comité restreint, avec une partie réflexion guidée par une fiche et un débat. Cette démarche aborde volontairement le côté très « pratico-pratique ».




Mettre en place un outil SIG : une démarche collaborative

Un bon système d’information est celui qui tient compte des compétences de chacun, qui seront valorisées dans la chaîne d’organisation. Le SIG n’est pas qu’une question d’ingénierie, c’est aussi un travail de fourmi !
L’utilisateur doit avant tout se demander « Qui pourrait faire quoi ? » et tester la faisabilité des tâches.

Un bon système est aussi un système durable. La donnée est vite obsolète lorsqu’il s’agit de gestion des espaces publics. C’est pourquoi la clé du succès est la cohérence dans la répartition du travail.

Aubépine peut conduire une analyse complète de l’organisation des services au regard de la mise en place des démarches géomatiques. Ce travail, effectué en lien avec les agents concernés, aboutit à la proposition de scénario de répartition des rôles et de la structuration des fichiers qui en découlent.

Notre leitmotiv est de faire vivre la pluridisciplinarité ainsi que la mise en valeur des savoirs faire de chacun.




Structurer les informations géographiques en tenant compte des besoins

Si l’identifiant d’un objet géo localisé est bien la clé de fonctionnement d’un SIG, en revanche, le choix des formes (points, lignes ou polygones) et les solutions de manipulations des informations attributaires sont plurielles.

Pour structurer les fichiers, il nous semble indispensable au préalable de comprendre comment les gestionnaires posent leurs problématiques : qui va utiliser et/ou enrichir les informations au quotidien et quelles cartes, calculs sont espérés de l’outil numérique.

C’est cette appréhension qui va permettre de définir la structuration de la base entre fichiers géomatiques, tableurs, associés, images ou encore documents liés.




Former les contributeurs de la démarche géomatique

Nous proposons des formations sur mesure sur les logiciels libres Qgis ou GvSig. Ainsi le formateur se déplace au sein du service et peut adapter le programme en l’appuyant sur les fichiers fournis par le service.

Très souvent, cette demande part du service espaces verts suite à un inventaire effectué par l’agence. Mais on remarque qu’à chaque intervention, des collaborateurs d’autres services (VRD, Urbanisme etc.) viennent se greffer à l’équipe apprenante. Ce qui affirme donc la demande croissante de l’outil géomatique dans les services et organisations gestionnaires d’espaces communs.

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